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 Esther A. Lester [terminé]

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Esther A. Lester
Esther A. Lester
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MessageSujet: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 16:10

Esther « Aphrodite » Lester
Omnia vincit amor - L'amour triomphe de tout

AGE : 27 ans ; SEXE : féminin ;  NATIONALITÉ : allemande ; GROUPE : dei omnipotentes ; TAILLE : 1m57 ; POIDS : 52 kilos ; CARACTÈRE : déterminée, capricieuse, audacieuse, naïve, sensible, infidèle, hautaine, imbue de sa personne, superficielle, tenace ; PHYSIQUE : blonde aux yeux bleus, les cheveux longs et la bouche en cœur, fine de taille et courte sur patte ;  SANTÉ : très bonne ; POUVOIRS : ceux des dieux (mais plus important que tout : celui de l'amour) ;

VOTRE POINT DE VUE SUR LE CAMP ADVERSE ? L’amour est une chose immuable, une puissance qui dépasse de loin l’entendement des mortels – ou même des dieux. C’est peut-être bien la raison qui me pousse à me refuser tout choix dans cette bataille qui oppose ma famille aux Humains. Je suis de fait l’incarnation de l’amour et ne peut me résigner à me liguer contre l’un ou l’autre des deux camps. Chacun des deux camps m’importent. D’un côté, il y a ma famille ; mes proches, que je côtoie depuis une éternité et aux côtés desquels je demeurerai jusqu’à la nuit des temps. Et de l’autre, les mortels, ces êtres imparfaits que j’ai longtemps observés du haut de mon piédestal sans jamais vraiment être capable des les haïr. Certes, nous avons eu nos hauts et nos bas ; des périodes de l’histoire qui les ont vus me vénérer avec amour et d’autres où je suis complètement tombée dans l’oubli au point de faire montre de retenue pour éteindre le brasier de ma rancune. Cependant, comment me résigner à faire un choix ? Les liens du sang sont forts, aussi ne puis-je tourner le dos aux miens ; mais les mortels sont comme une seconde famille pour moi. Nous avons ri et pleuré ensemble. C’est à leur contact que j’ai véritablement pris conscience que l’amour pouvait transcender les règles et les lois. Les Humains ne fonctionnent pas comme les dieux. Ils sont plus sauvages d’une certaine manière et ont une manière bien à eux de réagir face à des concepts aussi intangibles que l’amour. Avons-nous jamais vu un divin prêt à sacrifier sa vie à seule fin de sauver celle de sa moitié ? C’est tout juste si Héphaïstos daigne un tant soit peu s’intéresser à moi. Il m’honore seulement à cause des liens sacrés du mariage. Mais en dehors de cela, il n’a d’yeux que pour sa Pandore et ses autres créations. Arès, quant à lui, est parti, il a quitté l’Olympe sans même un regard en arrière pour moi le jour où notre aventure a été révélée à tous par la traitrise de mon époux. Les mortels sont capables des mêmes cruautés ; cependant, ceux qui ont su attirer mon attention étaient également capables des plus belles déclarations d’amour qui  m’ait jamais été données de voir. En un sens, les Humains valent mieux que les dieux. Je ne donnerais pas cher de ma vie si Zeus entendait cela, mais c’est la vérité. Et rien que pour cela, la guerre que mon père souhaite leur livrer n’a pas de raison d’être. L’être humain est capable de bien des choses – que ce soit du pire comme du meilleur. Mérite-t-il d’être rayé de la surface de la terre simplement parce que Zeus en a décidé ainsi ? Tous ne sont pas foncièrement mauvais. Hélas, Zeus n’est pas du genre à s’encombrer de ce genre de sentiments. À ses yeux, le monde est soit tout blanc, soit tout noir. C’est ce que je lui reproche le plus. Mais ça ne me donne pas pour autant la force ou le courage de prendre parti pour les mortels et me liguer contre les miens. Mon cœur balance ainsi des deux côtés. Humains ou dieux ? Quel camp choisir ? Je ne sais pas. Pourtant, il va tôt ou tard falloir que je fasse un choix.
Bonjour, sur le net on me surnomme Dieu, j'ai 25 ans. Je fais du RPG depuis très longtemps (quand bien même j'ai laissé tomber pendant un temps et que je m'y remets doucement). J'ai connu ce forum par l'intermédiaire d'un Top Site (mais je ne saurais pas dire lequel, j'ai déjà oublié). Pour RP je suis disponible la plupart du temps (selon mon inspiration du moment). J'ai choisi pour mon personnage l'actrice Emilia Clarke. Oh ! Et le code du règlement est Ex Nihilo. Les images que j'ai utilisées proviennent Google images (si si, mais je les retouche ensuite !).
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Esther A. Lester
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 16:11

This is my story
Ceci est mon incroyable histoire


L’amour est une force immuable de la nature. Elle est apparue à l’aube des Temps et a toujours été depuis. L’amour est comme les dieux : intemporel, éternel et ne souffre aucune limite. Il transcende les lois et la vision que l’on a du monde. C’est une puissance qui nous métamorphose et nous pousse dans nos derniers retranchements. Il en a toujours été ainsi ; car l’amour a toujours été là.

Comme tous les dieux qui vivent au sommet du Mont Olympe, j’ai moi-même longuement observé la vie prendre racine sur Terre et se développer lentement au fil des générations. En ces temps reculés, les mortels n’étaient pas aussi ouverts d’esprit et rationnels qu’ils peuvent l’être aujourd’hui. À leurs yeux, le monde était l’œuvre d’êtres célestes pourvus de grands pouvoirs. Et ils avaient raison. Nous étions là pour les guider et les protéger. Ils étaient notre troupeau et nous en étions les bergers. C’est à cette époque-là que se tissèrent les liens qui unissaient jadis Ceux d’en Haut et Ceux d’en Bas. Une époque bien lointaine maintenant où tout un chacun connaissait sa place dans l’univers. Déjà à cette époque, l’amour était vénéré et loué de jour comme de nuit. En ce temps-là, j’étais Inanna ou Ishtar, ou encore Astarté ou même Ashtart. Mais de façon unanime, j’étais le cœur de tous les peuples.

La Grèce antique – L’âge d’or des Dieux et des Hommes
C’est certainement de loin mon époque préférée. En ces temps-là, les Hommes et les Dieux étaient unis. C’était l’époque des conquêtes et des grands héros. Qui ne se rappellent pas de ces hommes qui ont façonné de bien des manières le monde d’aujourd’hui : Hercule, Achille, Percée ou encore Anchise. Il est loin le temps où les Hommes vénéraient ces puissances célestes qui les dominaient et avaient en bien des manières droit de vie ou de mort sur eux. Mon père dirait sûrement qu’en ce temps-là, tous les Hommes savaient où était leur place – soumis aux dieux, serviles et obéissants. Qu’importe ! Moi, ce que j’ai surtout retenu de cette époque, ce sont les histoires d’amour. En particulier celle de Pâris et d’Hélène. N’y a-t-il pas plus belle histoire d’amour que celle de Pâris et Hélène ? Bien sûr, Arès ne put s’empêcher de s’immiscer entre eux en déclenchant une guerre. Soit, cela n’a pas empêché mes deux héros de brûler d’un amour véritable le peu de temps que dura leur histoire. Ah ! L’amour ! Je me souviens que c’est également à cette époque que j’ai le plus fait don de mes charmes. Toutes ces fêtes et ces rituels perpétrés en mon nom. Déesse de la beauté et de l’amour. J’étais adulée et toutes voulaient recevoir mes faveurs – il arrivait même que des hommes se tournent vers moi, en suppliant que je les aide à combler ce vide dans leur cœur. D’ailleurs, en parlant de combler ce vide, quelle ne fut pas détresse quand j’ai appris à cette époque-là que mon père souhaitait me voir épouser ce vil et ce boiteux d’Héphaïstos. L’amour est une force de la nature implacable qui ne tolère pas la servitude et qui refuse de se voir passer une laisse autour du cou. Je me suis battue pour ma liberté. Je me suis battue pour que ce mariage n’ait jamais lieu. Héphaïstos ressemblait très peu à l’idéal masculin dont je rêvais. Il ne quittait que rarement sa forge et il était toujours couvert de sueur et de crasse. Je n’ai jamais supporté cette odeur de sueur et de cendre mêlées. Pour rien au monde je ne voulais épouser cet individu rustre et sans manière dont la laideur faisait de l’ombre à ma beauté naturelle. Mais père ne m’a pas laissé le choix. Mais le cœur a ses raisons que la raison ignore ; et ne supportant pas d’être ainsi enchaînée à un homme que même mon propre pouvoir ne pouvait me contraindre à aimer, j’ai fait ce que n’importe qui d’autre aurait fait à ma place : j’ai multiplié les aventures extraconjugales. Il n’était pas rare à cette époque qu’une femme se livre à ce genre de petit plaisir – quoi qu’en dise de nos jours l’histoire, ceux qui l’ont écrite n’étaient pas là pour en être témoins. Hermès, Dionysos, et même Poséidon, Héphaïstos ne s’est jamais douté de rien. Il n’avait d’yeux que pour sa forge de toutes les manières. Un rustre incapable de voir la beauté dans son plus simple appareil. Mais la plus mémorable de mes conquêtes fut de loin Arès. Il était tout ce qui pouvait s’éloigner de mon horrible époux. Arès était jeune, beau et fringuant. Il avait du charme et savait comment se comporter avec une femme. Il était sauvage et avait un « je ne sais quoi » comme on dit qui avait le don de me faire tourner la tête. À quoi bon résister à mes sentiments ? N’étais-je pas la déesse de l’amour ? N’étais-je pas supposée donner l’exemple ? Mais Héphaïstos est venu tout gâcher en dévoilant mon adultère aux yeux de tous. Dès lors, Arès a été contraint de quitter l’Olympe un temps et Héra, ma belle-mère, s’est jurée de me faire payer cet écart de conduite aussi longtemps que l’amour serait source d’adultère. Dès siècles durant, elle m’a tenue pour responsable du malheur de son fils. Et aujourd’hui encore, elle et moi multiplions les disputes dès que nous avons le malheur de nous retrouver l’une en face de l’autre. Qu’importe, il n’empêche que la Grèce antique fut de loin l’époque que je continuerai à chérir toute ma vie.

La décadence romaine
Puis le pouvoir passa des mains des Grecs à celles des Romains. Ils mirent fin à notre âge d’or et c’est à cause d’eux que les mortels d’aujourd’hui ne souffrent plus de craindre les Immortels qui ont été, sont et seront à jamais les éternels gardiens et maîtres de tout ce qui a été, est et sera jamais. Hélas, quand il est question des Romains, je dois avouer que j’ai tendance à perdre mon sang froid. Ne sont-ce pas eux qui m’ont reléguée au rang de divinité de second ordre ? Je n’ai jamais pu leur pardonner cet affront. Je leur en ai tenu rigueur des siècles durant ; et quand j’y repense encore maintenant, la colère brûle dans mes yeux. Non pas qu’ils refusaient de me vouer un culte ; disons qu’il me fut assez difficile de devoir passer après ma belle-mère Héra, ou mon beau-frère d’Arès ; ou même cet avorton de Quirinus (dieu protecteur des agriculteurs.) Moi ! La déesse de l’amour et de la sexualité, mère de toutes ces merveilles que sont : le désir amoureux, la passion dévorante, celle-là même qui consume jusqu’à votre âme et vous donne le sentiment de pouvoir toucher du bout des doigts la voûte céleste d'où les observent les dieux. Je suis la mère de toutes ces femmes qui enfantent ; je suis celle sans qui le monde aurait depuis longtemps dépéri. Je suis source de toute vie. Et comment les Romains m’ont-ils remerciée ? En préférant la voie de la guerre à celle de l’amour. Les dieux ont la mémoire longue et ils ne pardonnent pas facilement. Aujourd’hui encore, ma rancune est tout aussi vivace.

L’âge des ténèbres et de l’ignorance
Avec la chute de l’Empire romain, c’est tout le Panthéon qui sombra avec eux dans l’oubli. Les peuples se détournèrent de nous et ils cessèrent de voir en nous des puissances cosmiques capable de dicter leur conduite à tout un chacun. Les mortels choisirent la voie de l’aveuglement et se tournèrent vers leur soi-disant dieu unique omniscient et omnipotent. Quand bien même cette décision a été plus ou moins douloureuse à accepter, contrairement à certains membres de ma famille qui ont commencé à cette époque-là à vouer une haine viscérale à l’égard de l’humanité, il m’a été impossible de tourner le dos aux mortels. Ils avaient beau ne plus vénérer les dieux, ils n’en demeuraient pas moins sujet à l’amour et ce faisant, je ne pouvais les abandonner et les condamner à une vie de misère. L’amour ne saurait céder aux caprices de la foi. L’amour est plus fort que tout et l’amour ne doit pas être étouffé. Et tandis que mes proches se détournaient des mortels en les maudissant, moi je ne pouvais céder au besoin de garder les yeux rivés sur eux pour leur prodiguer amour et fécondité. Des siècles durant, je fis partie des rares divinités à garder un œil sur les mortels. Nous fumes une poignée à tenter de les remettre sur le droit chemin en leur envoyant des signes ; mais très peu – si ce n’est aucun à vrai dire – furent capables de les déchiffrer. L’Humanité vénérait aveuglément un dieu unique qui n’existait pas. Tant qu’ils refuseraient d’admettre la vérité en face, nous ne pourrions rien faire. Même les dieux ne peuvent réaliser ce genre de miracles. On ne peut forcer les mortels à croire en nous. Zeus pour sa part était convaincu du contraire. À ses yeux, les mortels étaient imparfaits et dysfonctionnels. Ils ne méritaient pas notre pitié et devaient consentir à plier le genou devant nous ou à mourir. Rien ne pouvait lui faire changer d’avis. Il était convaincu que l’humanité devait retourner à l’état d’esclaves. Je ne partageais plus cet avis. Pour les avoir vus gagner en force et en autonomie au fil des années, je ne pouvais admettre que père puisse dire la vérité. Les Humains étaient certes loin d’être parfaits. Ils pillaient, saccageaient, tuaient et ne respectaient plus rien. Mais était-ce cependant leur faute ? Zeus les avaient créés ainsi dans le fond. Et c’est justement dans leurs imperfections qu’ils se montraient, selon moi, dignes de notre respect et de notre amour. À force de les observer et de les pousser dans les bras les uns des autres, j’en étais arrivée à réapprendre à les aimer. J’avais même du respect pour ces individus si fragiles qui avaient su bâtir de leurs propres mains un nouveau monde. Si seulement, en dépit de sa rage et de son aveuglement, Zeus avait pu se rendre compte de son erreur. Selon moi, ce n’est pas un hasard si Pandore a fait en sorte que sa boîte soit retrouvée. Peut-être a-t-elle estimée que Zeus méritait de recevoir une bonne leçon. Mais la vanité du dieu des dieux est sans limite ; et il ne saurait tolérer le moindre affront. En s’appropriant le pouvoir des éléments, les mortels attisèrent sans le savoir la haine de Zeus à leur égard. Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase.

Aux portes de la guerre
« Il va te falloir choisir un camp, ma douce enfant. Ce sera ta famille ou eux. Sache cependant que je ne saurai tolérer la moindre duperie. Fais ton choix, mon enfant, mais sache qu’il pèsera lourdement sur ta conscience si par malheur tu venais à tourner le dos aux tiens… » C’est en ces termes que Zeus, mon père, me fit comprendre que je ne pouvais opter pour la neutralité dans ce conflit à venir. Selon lui, les Hommes avaient bafoué une fois de trop notre autorité en descellant la boîte de Pandore et en répandant à travers le monde cette magie élémentaire qui leur avait permis de s’élever plus haut que leur condition originelle. Trop longtemps Zeus avait retenu sa rage et trop longtemps il avait observé les Humains se détourner tous les jours un peu plus des anciennes croyances. Là, c’en était trop. Il ne pourrait tolérer un affront de plus. Et c’est la guerre qu’il avait décidé de déclarer à ces êtres qu’il jugeait irrespectueux et loin de mériter le don qui leur avait été accordé contre sa volonté. Il avait soulevé un vent de révolte au sommet du Mont Olympe et encouragé les nôtres à se révolter contre tous ces pauvres mortels qui se jugeaient suffisamment dignes pour s’opposer ainsi à nous en toute impunité. Et il y parvint. Zeus conquit les cœurs des Immortels – que ce soit par la véracité de ses propos ou par la menace d’un terrible châtiment – et il nous entraîna tous dans sa chute vers la Terre. Je n’ai pas eu mon mot à dire dans toute cette histoire. Quand bien même les mortels se sont détournés de nous, quand bien même ils ont oublié qui nous étions et la place que nous occupions, il m’est impossible de tirer un trait sur eux et de les condamner à l’extinction. Toute ma vie mon regard s’est tourné vers ce monde plein de vie et d’amour. Il ne s’est pas passé un jour sans que je m’immisce d’une manière ou d’une autre dans leurs histoires de cœur. D’une certaine manière, les mortels sont autant ma famille que peuvent l’être ceux qui sont éternels au sommet du Mont Olympe. Je les ai vus naître et grandir ; je les ai vus s’aimer et se détester. J’ai ri et pleuré avec eux ; j’ai souffert en voyant parfois que même l’amour ne pouvait pas guérir toutes les blessures. De toutes les divinités qui existent dans le Ciel, je suis de loin la plus humaine d’entre elles ; ou du moins est-ce ainsi que je conçois les choses. J’ai été, suis encore aujourd’hui, et resterai à jamais l’incarnation même de l’amour. Je ne puis me détourner des mortels car eux aussi sont les enfants de l’amour ; et je ne puis tourner le dos à ma famille, car je sais que les liens du sang sont plus forts que tout et que je crains mon père plus que tout autre chose en ce bas monde. Je ne puis donc me résigner à choisir l’un ou l’autre des deux camps. Me voilà donc dans un monde que je n’ai jamais cherché à rejoindre ; me voilà donc au cœur d’une guerre que je ne souhaite pas ; et plus que tout, me voilà contrainte à devoir renier ma propre nature. De tout temps, il a été dit que l’amour pouvait venir à bout de toutes les épreuves. Et si ce n’était pas vrai ? L’heure du choix approche. Mon père ne pourra pas continuer à accepter mon refus de faire un choix encore très longtemps. Je suis au pied du mur. Je suis perdue. La seule chose que je sais avec certitude : c’est que je refuse de prendre part à la destruction du monde. Les Humains méritent-ils vraiment de subir le courroux de mon père ? Et si Zeus avait tort ?
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Hansel C. Lioncourt
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 16:14

:g: <--- obligé devant Aphrodite.
T'es trop b*** belle comme déesse de l'amour :tc:

Au passage, bienvenue !! Des débuts prometteurs pour ta fiche de présentation ! Hâte de découvrir ton histoire :ta:
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Kate Athéna Anderson
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 16:33

Bienvenue :a: , je vois que mon pv a fait sensation c'est trop cool :).
Si tu as des questions n'hésite pas surtout, hâte de lire ta fiche.
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Esther A. Lester
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 16:37

Hansel > Ah ! Un mortel qui sait où est sa place, j'aime ça :D

Quoiqu'il en soit, merci à vous deux pour vos messages de bienvenue. Je pense avoir rempli tous les champs requis. Je suis donc en droit de proclamer : FICHE TERMINÉE !!! :bo: J'espère que ça conviendra. Soyez pas trop méchants, ou alors je vous prive d'amour >.<
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Lorenz H. Thomson
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 17:03

Hans' m'ayant dit qu'il fallait que je vienne t'honorer je me dévoue!

Je crois que tu es dix fois plus avancée que moi sur ta fiche (qui est d'ailleurs finie) donc je vais rien dire comme encouragement (en revanche tu peux m'encourager :p: )

Et surtout je veux un rp! J'en veux uuuuuuuun!
Donc sur ce, chère et tendre épouse, je vais finir ma fiche pour rattraper ce retard que tu m'as fichu dans la vue XD
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Esther A. Lester
Esther A. Lester
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 17:27

CQFD ! Héphaïstos n'a rien d'un mari modèle. Il ne vient honorer son épouse que parce qu'on lui a dit de le faire ! Eh bah bravo. *Esther boude son époux.*

Par contre, comme moi j'ai du cœur, je vais effectivement t'encourager pour ta fiche. Du peu que j'ai vu pour le moment, j'ai envie de dire... BRAVO ! Je suis presque jaloux de pas avoir eu autant d'inspiration >.<
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Hansel C. Lioncourt
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 17:52

Tu viens de me donner une leçon d'Histoire. Les événements sont vachement bien dépeints, j'ai dévoré l'histoire de ton personnage. C'est rare les Dieux dans notre camp, enfin, un Dieu qui n'a pas envie de nous trucider !
Allez, FILE JOUER !!! :oc:
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Esther A. Lester
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] EmptySam 11 Oct - 18:30

:hp: Youpi !!! Merci :D Faut dire aussi, si tous les Humains ont la tête de Jamie, comment veux-tu que la déesse de l'amour résiste à ça ? ^^
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MessageSujet: Re: Esther A. Lester [terminé]   Esther A. Lester [terminé] Empty

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